LES ROUTES VAROISES EN LIBERTE

LA BELLE DE MILWAUKEE

La passion de la moto, tout simplement.


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Les Mines de Bruoux.

25 juin 2025
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Vol. no. 4

Mission Ocre et Tilleuls...

Ah, ce fameux 25 juin 2025… Un mercredi, oui, tu as bien lu. Un mercredi, comme un pied de nez au calendrier, histoire de surprendre la routine et de dire :

“Nous, on roule quand on veut. Et aujourd’hui, c’est maintenant.”

Le soleil s’était levé avant tout le monde, déjà décidé à transformer les blousons noirs en couscous vapeur. Mais pas de quoi effrayer les motards des Routes Varoises En Liberté, qui s’étaient donnés rendez-vous de bon matin, le casque dans une main et les lunettes de soleils dans l'autre. Et comme toujours la banane, pour cette journée qui s'annonce cuisante.

Mais avant toute chose, place à la Star du jour

1 indice ? la couleur noir et jaune.. je dis ça je dis rien ... enfin si un peu !

Cap sur l’arrière-pays : petites routes, grands plaisirs

Exit les grandes lignes droites. Aujourd’hui, c’était 100 % petites routes de derrière les collines, les vraies, celles qui serpentent comme un chat qui s’étire au soleil.
On a traversé des villages aux noms chantants, des champs de lavande qui sentaient l’huile essentielle à 200 mètres, et des virages tellement serrés qu’ils auraient pu être faits à la main par un artisan.

On a eu droit à :
Des arrêts photos improvisés,
Des “Eh, t’as vu ce panorama ?” (suivi d’un “roule, sinon on va être à la bourre”),
Et bien sûr, des pauses pour s’hydrater… avec modération mais conviction.

De droite à gauche : les héros du jour !

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  • Claudie “Maya” – Toujours aussi pétillante, avec un sourire capable de faire fondre l’ocre elle-même.
  • René – L’élégance tranquille, le calme au guidon, le mot juste au bon moment
  • Zaza, notre camerawoman officielle – Elle immortalise tout, même les virages ratés (mais avec amour).
  • Titi, le baroudeur intrépide – Capable de tracer sa route même en terrain lunaire, et de raconter l’anecdote qui va avec.
  • Marie-Christine – L’élégance discrète et le coup d’œil affûté pour les coins sympas où s’arrêter.
  • Paul – Toujours prêt à dégainer une vanne, un outil, ou un conseil. Parfois les trois en même temps.
  • Patrick – L’homme à la trajectoire parfaite et à la pause café bien méritée.
  • Eric – Le moteur ronronne, lui aussi. L’expérience, la bienveillance, et une sacrée allure.
  • Jérôme – L’humour au bout des gants, la route dans le sang, et un rire qui résonne dans les tunnels.
  • Pierre, notre Road Captain – Grâce à lui, les routes ne sont jamais droites, mais toujours belles.
  • Vito – Le style, le sourire, et la poignée toujours juste. Un pilier du groupe.
  • Patricia – La classe, la gentillesse, et le regard complice qui dit “On est bien là, non ?”
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Visite sans pioche mais avec charlotte et caque pour les uns et casquette et casque pour les autres
Aujourd’hui, les Mines de Bruoux, c’est Indiana Jones version lavande. On t’équipe, on t’emmène dans les galeries de 15 mètres de haut, et tu découvres un univers ocreux digne d’un décor de film de Spielberg (mais avec moins de serpents, promis).

Pas question de se lancer à l'aventure sans une solide déjeuner à l'ombre de tilleuls.

Avant la visite souterraine, qui devrait être rafraîchissante comme un sorbet citron dans le désert, les estomacs ont commencé à grogner en stéréo.
Mais pas d’inquiétude : le meilleur était à venir.

Devant l’entrée des Mines de Bruoux, à l’abri des tilleuls généreux, un coin parfait nous attendait. Une scène bucolique digne d’une carte postale :
☀️ Soleil haut dans le ciel,
🌳 Ombre fraîche sous les branches,
🧺 Et des victuailles sorties des sacoches comme par magie.

Le pique-nique s’est transformé en vrai banquet de motards :
Sandwichs variès,
Salades colorées,
Rosé bien frais ou bières locales (merci la glacière de compétition),
Et desserts qui sentent bon les étés de Provence, la glace what else !

Les rires ont fusé, les anecdotes de route ont fusé aussi (parfois très romancées), et l’ambiance ? À mi-chemin entre guinguette provençale et repas de famille à ciel ouvert.
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Gourmandise


quand tu nous tiens !

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Après un bon pique-nique à l’ombre des tilleuls, quoi de mieux qu’une petite sieste digestive, le ronron des cigales en fond sonore.

Ah, et voilà que les choses se précisent !
Alors que la troupe somnole paisiblement sous les tilleuls, bercée par les cigales et le souvenir des virages, un mouvement attire l’attention…

Telle une scène digne d’un bon vieux western provençal, M&M (non, pas les bonbons…) se lèvent doucement, se jettent un regard complice… et sans un mot, se dirigent vers l’entrée des Mines de Bruoux.

Certains murmurent :

“Mais… ils y retournent ?”
“Ils n’ont pas vu assez de galeries ?”
“Ou alors ils veulent s’y planquer jusqu’à la fraîche ?”

D’un pas décidé, M&M tracent leur route vers l’ocre. Un couple mythique, prêt à explorer encore et toujours. On aurait dit Indiana Jones et Lara Croft, version sud-luberonnaise. Il ne leur manquait qu’un fouet… et une glacière.

Ah, le moment solennel approche… l’entrée dans les entrailles ocre de la Terre ! Mais pas si vite, aventuriers des temps modernes. Avant de jouer les explorateurs, il y a un rituel incontournable…

Le passage par la dotation : style et sécurité avant tout

Avant de pénétrer dans le royaume souterrain des Mines de Bruoux, un arrêt stratégique s’impose : la dotation.

Là, dans un ballet aussi précis qu’un ravitaillement en MotoGP, chacun reçoit l’attirail du parfait mineur-touriste :

Une charlotte blanche… façon cantine scolaire ou pâtissier de luxe selon l’imagination,
Et par-dessus, un casque de chantier, version “Bob le Bricoleur rencontre Indiana Jones”.

Autant dire que l’élégance du groupe en a pris un coup.
Mais entre nous, voir René, Vito ou Titi affublés d’une charlotte sous leur casque, c’était un spectacle à ne pas rater. Même Zaza, la camerawoman, a lâché un fou rire en filmant.

Et comme le dit si bien Pierre, notre Road Captain philosophe : “Les routes ne sont jamais droites, mais avec une charlotte, elles sont au moins bien coiffées.”
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On y est : l’équipe est prête, casquée, protégée, et presque sérieuse.
Direction les galeries ocre, où l’histoire de la terre se lit sur les murs… à condition de ne pas trop se cogner la tête.

Dehors, c’est l’enfer. Dedans, c’est le congélateur. Et les bikers, eux, sourient.

Il fait 38°C à l’ombre, et devinez quoi ? Y’a pas d’ombre. Les moteurs fondent, les selles collent, les cuirs fument (littéralement), et les moustaches prennent feu spontanément. Bref, la canicule tape plus fort qu’un V-Twin à plein régime.

Et là… 9,5°C.
Un choc thermique digne d’un épisode de « C’est pas sorcier » version hardcore. Mais tu sais quoi ? On est bien.
Parce qu’un vrai biker préfère claquer des dents dans une galerie de mine que fondre comme un pot d’échappement dans une poêle à frire.

Entre trois couches de frissons, on rigole, on vit, on refroidit, pendant que les autres cuisent dehors comme des merguez sur le capot d’un pick-up.

Alors oui, dehors c’est le Sahara, dedans c’est l’Antarctique…
Mais entre deux extrêmes, y’a nous. Et franchement, on est pas mal.


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Mais au bout d’une heure, inévitablement, il faut retourner dans la fournaise. On rejoint les motos, casques en main, visages ruisselants, comme des damnés reprenant leur châtiment. Le moteur brûlant, la selle qui colle, et déjà l’asphalte vibre sous la chaleur. La route du retour nous attend… sinueuse, interminable, toujours sans la moindre ligne droite. Des petites routes du Var, étroites et brûlantes, qui serpentent comme si elles fuyaient elles-mêmes le soleil. Le cauchemar reprend, courbé dans la torpeur, avalant les virages un à un, sans répit.




Nous prenons la route du retour sous une chaleur digne d’un four à bois, fondus dans nos cuirs comme du reblochon à la plancha. Devant nous, encore une ribambelle de virages serrés sur les petites routes varoises — de quoi faire chauffer les pneus et les mollets ! Heureusement, notre road-captain mène la danse, tel un maestro du bitume (ou un GPS capricieux mais attachant). On lui fait confiance… parce qu’on n’a pas trop le choix 😄 !

Mais on ne va pas se plaindre : les paysages sont dignes des plus beaux tableaux impressionnistes, les collines ondulent comme des coups de pinceau, et l’air est chargé de fragrances de lavande fraîchement écloses… un vrai parfum de Provence, version Harley !

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Et comme la chaleur commençait à nous transformer en merguez roulantes, un dernier arrêt fraîcheur improvisé s’est imposé. À l’ombre d’un vieux platane, les casques au sol, visières levées, on a trinqué à l’eau pétillante, aux jus pressés et aux cocktails sans alcool bien frais, les verres débordants de glaçons qui fondaient presque aussi vite que nous !

Un petit moment de répit, quelques éclats de rire, et c’était reparti pour avaler les derniers virages comme des dragées… toujours en confiance derrière notre road-captain au flair légendaire !


Sur le retour, révélation : enfin, je comprends comment sont fabriqués ces fameux tunnels de platanes qui nous offrent de l’ombre salvatrice… un pur bonheur à moto ! Merci Napoléon, visionnaire des motards avant l’heure 😄

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Une journée au top : des virages à gogo, des paysages de carte postale, des fous rires à chaque pause (et parfois en roulant 😅), et une équipe en or ! Coup de chaud assuré… jusqu’à notre passage express au “frigo” des Mines de Bruoux : 9 °C, le paradis sur terre ! De quoi recharger les batteries avant de repartir, parfumés à la lavande et boostés aux cocktails sans alcool bien frais. Bref, que du bonheur — avec un soupçon de transpiration, beaucoup de bonne compagnie, et une clim' naturelle digne d’un rêve de motard !

BONNES VACANCES À TOUS !

Il est temps de troquer le cuir pour le maillot, le guidon pour la bouée licorne, et la route pour... la sieste sous les pins !

Profitez du soleil, rechargez les batteries (pas celles de la bécane, hein), et surtout : évitez de rouler sur le sable... ça grippe plus qu’un virage surprise dans les Maures.

Rendez-vous en septembre pour une nouvelle virée des Routes Varoises En Liberté – on revient en forme, bronzés (ou cramés), et toujours prêts à faire rugir les moteurs et rire les potes !

En attendant, gaz... sur les vacances !


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